Bienvenue
sur la partie scientifique
de ce site

La cave de Pythagore

 

La vision promue par la-question-e.fr

 

 La partie scientifique développée sur ce site s'attache à promouvoir une nouvelle vision du vide et des forces qu'il abrite.

 

Si cette vision ne choque ou n’étonne plus grand monde aujourd’hui, tel n’était pas le cas il y a vingt ans lors des premiers énoncés.

 

Elle ne remet pas en cause le modèle standard de la cosmologie fondé à l’aube du vingtième siècle sur la base des données disponibles à l’époque.

 

Elle se propose seulement de l’intégrer dans le contexte beaucoup plus vaste de l’univers que révèlent aujourd’hui une kyrielle de satellites artificiels et deux célèbres télescopes : Hubble et James Webb.

 

Et cet univers, notre univers, contient une toile d’araignée tissée de filaments cosmiques qu’il n’est plus possible de résumer à une simple sphère homogène.

 

Cette vision passe donc par la construction d'une théorie physique reformulant le comportement de la matière cosmique.

 

Cette reformulation implique d’introduire la notion de corde matérielle élastique et un nouvel outil mathématique dénommé : « produit tensoriel déformé ».

 

J'espère que les contenus de ce site vous permettront de progresser dans vos études, dans vos recherches ou tout simplement dans votre quête de savoir.

 

Ce site héberge et poursuit la démarche pédagogique initiée en mai 2004, et développée depuis sur divers supports sous le label générique de :

 

« La théorie de la question (E) »

(piste rouge - voir le site cosmoquant.fr, nouvelle version)

 

... d’où son nom.

 

Vous pouvez en découvrir les premiers éléments sur ce site en réalisant ...

 

Résumé de la démarche physique

 

 

 Du point de vue de la physique la démarche peut à peu près s'énoncer de la sorte.

 

Dans le monde classique, connu pour être tridimensionnel et euclidien, deux opérations complémentaires l'une de l'autre ont été définies : le produit scalaire et le produit vectoriel. Dans notre environnement habituel, la trigonométrie constitue un ciment naturel entre ces deux opérations.

 

A la fin de dix-neuvième siècle, Riemann, élève de Gauss, introduit une extension de la notion de produit scalaire. Elle lui sert à redéfinir la notion de distance dans un environnement non-euclidien. Cette nouvelle approche aura d'immenses conséquences dans le cadre de la théorie de la relativité générale (A. Einstein). Certaines d'entre elles continuent à captiver la curiosité des chercheurs.

 

Le principe de Palatini affirme que le comportement des métriques est découplé (indépendant) de celui des connexions (affines, de spins, etc.).

 

Comme les métriques sont liées à la notion de produit scalaire, et comme les connexions de spins sont liées à la notion de produit extérieur qui est une généralisation de celle de produit vectoriel, il semble légitime d'explorer le comportement relatif de ces deux opérations dans les espaces de dimension supérieure à trois. En quelque sorte, pour savoir comment fonctionne la trigonométrie dans les espaces qui ne sont pas euclidiens.

 

Comme le produit extérieur n'est pas une opération interne (d'où son nom), il faut commencer par inventer une généralisation du produit vectoriel aux espaces dont la dimension est supérieure à trois. C'est là toute la raison d'exister des produits de Lie généralisés et déformés apparaissant dans la théorie de la question (E).

 

L'ambition de ce projet consiste ensuite à découvrir s'il est possible d'introduire utilement cette notion de produit de Lie déformé en physique, comme ciment entre la théorie de la relativité et la physique quantique.

 

Je démontre que oui et j’en découvre progressivement les divers domaines d’application.

Résumé de la démarche mathématique

 

 

 Les définitions des outils mathématiques abondamment manipulés dans les diverses explorations proposées sur ce site se trouvent dans le document d’

 

« introduction au concept de décomposition des produits déformés ».

 

La démarche privilégie l'application de cet outil à l’équation de Klein-Gordon et à la loi dite de Lorentz-Einstein (dans sa formulation académique) qui se trouve simplement être la version covariante d'une vieille loi classique de l'électromagnétisme.

 

Elle procède comme le ferait un étudiant, c’est-à-dire en ne négligeant pas l'apprentissage de données de base.

 

C’est la raison pour laquelle elle cherche à savoir dans quelle mesure les notions de structure de groupe, d'anneau, de corps, etc… s’appliquent ou non aux espaces vectoriels munis de produits déformés.

 

C'est ainsi qu'elle démontre en quoi les espaces munis de produits de Lie déformés ne peuvent jamais être munis d'une structure de groupe (à cause d’une problématique centrée sur l’absence de neutre ; cette problématique mène l’exploration vers l’étude des structures involutives éventuelles dont ces espaces peuvent être équipés) mais définissent automatiquement des algèbres de Sophus Lie.

 

La démarche inclut la définition d'un type que je crois nouveau de dérivation ; je veux parler de la dérivation d'un vecteur par rapport à un bi-vecteur ou, équivalemment, par rapport à un élément infinitésimal de surface.